Eca, l’Artiste Insaisissable Défiant la Normalité

1974

Arsen Eca est un artiste peintre français, né à Paris et non décédé depuis 1974.
Arsen Eca, depuis son plus jeune âge, a perçu le système d’une manière unique, voyant ses actions naturelles et libres comme étant perçues comme anormales par les autres. Artiste peintre français actif depuis 1974, Eca vit pleinement au sein du système, mais toujours avec un recul critique, lui permettant de mieux en jouer et de l’utiliser à son avantage. Sa vie n’est pas en marge de la société, mais plutôt intégrée en son cœur, tout en conservant une perspective distincte qui le distingue. Cette position lui donne une vision claire des normes conventionnelles, qu’il utilise comme une toile pour défier et remettre en question les attentes et les standards établis, affirmant ainsi son art et son individualité dans un monde qui tend vers l’uniformisation.

2000 : Le cabinet de conseil

C’est en 2000 qu’Arsen Eca commence à marquer le monde de l’art, en travaillant comme consultant en organisation dans un cabinet de conseil. Là, il découvre la puissance des chiffres, maîtrisant l’art de créer des tableaux de bord et des systèmes de gouvernance. Ces outils lui permettent d’évaluer et de gérer les employés et de les virer, révélant ainsi l’impact des métriques sur la vie professionnelle.

2005 : Livre en Emoticones

C’est en 2005 que l’artiste s’initie à l’art avec l’écriture du premier roman à partir d’émoticon  aux éditions Paralux qui raconte l’histoire tragique de l’accident du vol Vol 800 TWA, sans pour autant le nommer. Le livre sera rééditer en 2017.
Plus q’un simple Roman écrit à partir d’emoticon, pour l’artiste, il s’agissait d’un système de lecture et d’écriture utilisable.

Le grand livre Universel

Premier roman écrit à partir d’emoticon

2008 : Créer du Rien

En 2008, inspiré par un article sur la physique quantique qui révélait que le vide pouvait être créé à partir de “Rien”, Eca se lance dans une entreprise audacieuse : fabriquer le “Rien” et le commercialiser. Cette révélation sur les mystères du vide et du néant, ancrée dans les arcanes de la science quantique, devient le socle de son projet artistique et commercial. Eca, se plongeant dans cette quête du “Rien”, explore alors les possibilités de matérialiser l’immatériel et d’offrir au monde cette essence insaisissable sous une forme concrète et marchandable.

2013 : Contrôle fiscal

C’est en 2013 qu’ Eca se lance professionnellement et à 100% dans son art sous le pseudonyme de Greemfeld puis Chezbelette. Il lance sur le marché une idée à la fois subversive et déconcertante : vendre le rien. Oui, vous avez bien lu. Les amateurs d’art pouvaient acquérir un objet qui n’existait pas et ne recevoir absolument rien en retour, le tout en un délai record de quinze jours. Cette idée déconcertante a rapidement fait sensation et suscité de nombreuses interrogations, notamment du point de vue fiscal. L’administration fiscale n’a pas tardé à se pencher sur cette nouvelle forme d’échange artistique. La question du taux de TVA a été soulevée, et Eca s’est retrouvé confronté à un contrôle fiscal qui a fait couler beaucoup d’encre. Une somme considérable de 30 000 euros de TVA lui a été réclamée, mais le problème demeurait : quel est le taux de TVA applicable au rien ? Cette situation kafkaïenne a propulsé Eca sous les projecteurs de l’actualité artistique. Son audace et sa perspicacité ont révélé les contradictions et les absurdités du système fiscal, mettant en évidence les limites de la définition traditionnelle de l’art. Arseneca est devenu un symbole de la remise en question des normes établies et de la créativité sans limites. Aujourd’hui, Eca continue de repousser les limites de l’art avec des créations qui défient les conventions et provoquent des réactions passionnées. Son travail est une invitation à remettre en question nos certitudes et à explorer de nouveaux horizons artistiques.

Ne rien acheter

Taxe

2014 mars : Perquisition de l’atelier

En avril 2014, l’atelier d’Eca a été perquisitionné par deux inspecteurs experts, intrigués par ses distributeurs d’arrêt maladie. Ces machines étonnantes permettaient aux utilisateurs d’obtenir un arrêt de travail pour la modique somme de deux euros seulement. Chaque arrêt était dûment signé par un médecin et il suffisait de l’envoyer à l’assurance maladie pour justifier son absence.Les distributeurs d’arrêt travail étaient installés dans les entreprise et chez les medecins.  Cette installation controversée a immédiatement fait scandale et a attiré l’attention des autorités. Arseneca a été confronté à des procédures légales et à des enquêtes minutieuses pour déterminer la légalité et l’éthique de son concept. Pour certains, il était perçu comme un opportuniste, exploitant les failles du système pour son propre bénéfice. Pour d’autres, il était considéré comme un provocateur talentueux, dénonçant les absurdités de la société et les limites de notre système de santé. Quelle que soit l’interprétation, il est indéniable que les installations d’Arseneca ont réussi à susciter des débats et à provoquer des prises de conscience. Elles ont souligné les contradictions et les incohérences qui existent au sein de notre système social. Eca a osé remettre en question l’idée conventionnelle de travail et de productivité, en mettant en lumière la fragilité de nos normes sociales et de nos institutions.

Perquisition à l’atelier

Les deux inspecteurs experts

Avril

Son système innovant de manifestation de la colère a attiré l’attention de la Direction Générale de la Concurrence deux semaines après la perquisition, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF), soulevant des questions sur la légalité et les conséquences de ses créations.

À travers son système artistique unique, Arseneca offre aux personnes la possibilité de libérer leur colère en un simple clic. Un geste en apparence anodin, mais qui déclenche une réaction en chaîne surprenante. Chaque clic se transforme en un pavé lancé dans une mare, symbolisant la colère qui émerge et se propage dans la société.

Le concept captivant d’Arseneca a suscité une vague de participation et d’engagement. Plus de 3000 pavés ont été jetés, résonnant comme des déclarations de frustration et de mécontentement. Cependant, cette expression de la colère n’est pas passée inaperçue. Les autorités ont réagi en lançant une enquête de l’Intérieur, en procédant à des mises sur écoute et en effectuant des contrôles approfondis.

Cette réaction vive et controversée témoigne de la puissance de l’art d’Arseneca.

2019 : La censure

Eca, a récemment été confronté à un combat inattendu contre la censure numérique. Son site d’artiste a été supprimé du réseau de recherche de Google, qualifié de “publication de contenu vide de sens” et de “spam agressif“. Cette décision radicale a plongé l’artiste dans une période de cinq mois sans ressources, confronté à la nécessité de réinventer son parcours artistique. L’œuvre d’Arseneca, résolument unique et provocante, défie les conventions et cherche à pousser les limites de l’expression artistique. Son approche non conventionnelle a suscité l’incompréhension des algorithmes de Google, lesquels ont jugé ses créations comme dénuées de sens ou comme une forme de spam. La seule réponse apportée par Google a été la suivante : “Vous avez touché du doigt les limites de notre algorithme ” Cette censure numérique a eu des conséquences financières et créatives pour l’artiste, qui s’est retrouvé privé de ses ressources habituelles. Cependant, Eca est un artiste résilient et combatif. Refusant de se laisser abattre par cette situation, il a engagé un procès contre Google pour défendre sa liberté d’expression artistique. Malheureusement, le procès a été abandonné en cours de route. Cependant, cela n’a pas découragé Eca. Faisant preuve d’une persévérance sans faille, il a réussi à rétablir son site d’artiste et à reprendre sa quête créative sous un autre nom, et en recommençant tout à zéro. Toute une partie de son travail, a été supprimé à jamais du web. La censure numérique n’est pas la seule épreuve à laquelle Eca a été confronté. Sa chaîne YouTube, qui servait de plateforme pour partager son processus artistique et ses idées, a également été définitivement supprimée. Ces obstacles ne font que renforcer sa détermination à continuer à créer et à repousser les limites. L’artiste Eca est bien plus qu’une victime de la censure numérique. Son parcours tumultueux et sa lutte contre les forces qui cherchent à le réduire au silence ont forgé sa résistance et son engagement envers son art. Ses créations, bien que déroutantes pour certains, sont le reflet d’une volonté de dépasser les normes et de remettre en question les dogmes établis.

Censure et bannissement par Google

“Vous publiez du contenu vide de sens”

2020 : Le procès

Patrice Monti de l’AFP et le cabinet d’avocat Cabinet Reynal-Perret ont lancé une attaque contre Arseneca pour son système novateur de création d’un bien-être environnemental. Ce système révolutionnaire vise à recycler les fichiers numériques inutilisés qui contribuent à la pollution des poubelles d’ordinateur. Eca a mis au point un traitement spécial qui permet de compresser ces fichiers et de les réduire à la taille d’un unique pixel de 10×10. Par la suite, un robot est chargé de peindre ce pixel, créant ainsi une œuvre d’art unique. Cependant, Patrice Monti et l’AFP ont intenté un procès contre Eca, arguant qu’une des images de l’AFP est incorporée dans cette œuvre d’art invisible à l’œil nu. Cette controverse soulève des questions sur les droits d’auteur et la propriété intellectuelle, mais aussi sur la nature même de l’art et de son interaction avec le monde numérique.

Procès Eca Vs AFP

Une oeuvre que l’on ne peut pas voir

2021 : La suppression

Au croisement de l’art conceptuel et de l’audace créative, Eca s’impose comme l’un des artistes les plus intrigants et innovants de notre époque. Son dernier coup d’éclat ? Une sculpture invisible d’Emmanuel Macron, érigée dans le 5ème arrondissement de Paris le 23 juin 2020, qui a suscité un engouement sans précédent. Cette sculpture invisible, qui défie les limites de la perception, est devenue la sensation artistique de l’année sur le web. Malgré son absence physique, elle a attiré un flux constant de visiteurs, établissant ainsi un record en tant que la sculpture la plus recherchée sur le web à Paris en 2021. Une prouesse artistique remarquable qui souligne le pouvoir de l’imagination et l’influence de l’art dans notre société. Cependant, cette création unique n’a pas échappé à la censure de Google, qui a supprimé la sculpture  invisible d’Emmanuel Macron le 12 octobre 2021 de Google Map. Cette intervention a soulevé des débats sur la liberté artistique et la manière dont les nouvelles technologies façonnent notre perception de l’art. Elle est cependant toujours présente dans la 5ème arrondissement ou une plaque en laiton signales sa présence.

Google Map et la sculpture invisible

Retirée du web

Sélection de quelques collections créées par Arsen Eca

Eau bouillante à décongeler

2012 : Eau bouillante à décongeler

Cette œuvre est l’une des premières œuvres emblématiques de l’artiste qui lui vaudra plus tard   un bannissement et censure de Google.
Il utilise le résultat du positionnement de la requête Google “eau bouillante à décongeler” comme un indicateur. Etant le seul à fabriquer de l’eau bouillante à décongeler, il devrait apparaitre en première position. Ce qui n’est plus le cas

2012 : Jeter un pavé dans la mare

Cette œuvre a été la plus vendue entre 2012 et 2014. L’artiste propose de manifester de la colère, par un jet de pavé qu’il exécutera à votre place par un simple clique. Plus de 3000 pavés sont jetés dans trois mares qu’il officialise.
Pour lui c’est également une critique de notre société du “clic and go”
Il réinterprètera son oeuvre en 2023 avec les Emochain

2012 : Chercher une aiguille dans une meule de foin – Installation

Eca commercialise des meules de foin qui permettent aux collectionneurs de trouver l’aiguille. Il réinterprètera son oeuvre en 2023 avec les Emochain

2013 : Perquisition des sirènes des mairies

De 2010 à 2013 Eca fait sonner les sirènes de toutes les villes de France en l’hommage d’une personne inconnue. Pour cela il réquisitionne les 1er mercredis de chaque mois après avoir envoyé un courrier de réquisition au ministre de la culture Audrey Azoulay.

Premier livre écrit en emoticon en 2005

2013 : Premier livre écrit en emoticon par une intelligence artificielle

Eca écrit le premier livre entièrement rédigé en emoticon en 2005 aux éditions Paralux . Il utilisa une intelligence artificielle en 2013 pour rééditer ce livre.  Il remporta le premier prix américain Make du magazine de Dale Dougherty  avec ce livre en septembre  2013

2014 : Installation Ring Point

Eca installe en altitude pendant 7 jours  un ancien téléphone à cadran en pleine nature. Il suffit de composer un numéro de téléphone pour déclencher le sonnerie du téléphone et polluer la nature.

2014 : Déchets recyclés

Eca lance une série de peinture issue du recyclage de fichiers numériques qui polluent les poubelles d’ordinateurs et consomment inutilement de l’énergie de stockage. Chaque peinture est réalisée à partir de déchets numériques. Elles sont peintes par un robot.

2014 : Message d’espoir dans l’univers – Installation

Eca propose d’envoyer votre message dans l’univers par onde électromagnétique. A chaque endroit au le message est envoyé, l’artiste pose une plaque qui contient les coordonnées géographiques et le messages envoyé.

2015 : Le premier canapé connecté à son psychiatre

L’artiste à créé cing canapés connectés par radiofréquence directement avec un psychiatre. Il suffit d’approcher son téléphone du canapé pour commencer une séance avec en ligne. Le canapé PSY IV fait régulièrement la presse des magazine.

2014 – 2015 : Distributeur arrêt maladie – Installation

Eca installe des distributeurs automatique d’arrêt maladie dans les entreprise et les cabinets médicaux.

2015 : Installation d’un téléphone à 200 mètres d’altitude

Eca installe en altitude un téléphone qui permet d’entrer en contact avec Paul. Le téléphone intallé en haut de la pointe de Uble devient une attraction touristique et inspire d’autre artistes notamment japonais.

2015 : Contrôle fiscal – sculpture

Eca propose aux controlés fiscalement de payer l’administration fiscale en oeuvre d’art. Une sculpture d’homme étouffé par des documents fiscaux.

2015 : Intelligence artificielle 

Eca expose à la Cité des Sciences et de l’Industrie à Paris (1er prix Makerfaire) une machine d’aide à l’indécision capable de calculer un attracteur étrange de Lorentz. La machine est utilisée également pour exaucer les prières

2013 – 2015 : création du concept du Rien acheter – Installation

Eca propose d’acheter rien et de ne rien recevoir rien en 15 jours seulement. Il dépose et protège ce concept qui est malgré tout souvent utilisé par d’autres.

Redonner la vue à la statue

2016: Les statues recouvre la vue

L’artiste imagine un procédé pour redonner la vue aux statues. Il redonnera la vue à 196 statues à travers la France et à la Statue de la Liberté à New York

2016 : Création de l’école normale

L’artiste diplôme 123 étudiants de l’ecolenormale.fr, après avoir créé une école en ligne pendant la Présidence de François Holande.
Cette école pouvant être confondu avec l’Ecole Normale Supérieur délivrait des diplômes gratuitement après un examen de passage d’une simple question : Etes-vous normal répondez par oui ou non.
L’artiste est fier d’avoir pu permettre à un “élève” vérifié, de trouver du travail grâce à son diplôme.
Pour lui, il s’agit d’une critique du classement des écoles et de l’importance donné au diplôme.
Le server de l’école est fermé en 2015 après avoir inscrit 3120 élève et diplômé 123 étudiants.

2017 : Belle Merde

Eca créé des belles Merdes qu’il dépose dans Paris aux endroits demandés par les internautes

2017 : Dormir à la place de l’autre – installation

Eca dort à votre place lorsque vous n’avez pas le temps de dormir. Il réinterprètera son oeuvre en 2023 avec les Emochain

2018 : création du premier centre de préservation des bonhommes de neige

Eca créé en altitude le premier centre de préservation des bonhommes de neiges. Jusqu’à trois bonhommes de neige sont préservés dans des caissons alimentés à l’électricité solaire. En 2023 Michel est mort noyé dans son caisson. Cette triste nouvelle permet d’alerter sur le changement climatique.

2018 – 2020 : Ferme de chaussettes sales – Installation

Eca a créé une ferme dans le sud de la France, productrice de chaussettes sales. Les chaussettes sont récoltés à maturation. 14 ouvriers agricoles produisent pendant 2 ans des chaussettes sales.

2012 -2019: Création de chezbelette 

L’artiste créé une institut à travers lequel il créé des systèmes et des objets dérisoires. Chezbelette connait un succès planétaire auprès des personnalités.
En 2019 il totalise plus d’un million de clients, avant sa fermeture provoquée par la censure de Google.

2023 : Création d’un Laboratoire

L’artiste créé le premier laboratoire qui place au centre les émotions et devient la première banque mondiale de nos émotions. Il lance le projet Emochain pour lutter contre la platitude de notre monde. Il souhaite prouvouer que nos émotions valent plus que de l’or.